Internationale Situationniste

Context XXI ist ein Medium gegen das die Internationale Situationniste gegründet wurde: „Die Regel dieses Mitteilungsblattes ist die kollektive Autorenschaft. Die gelegentlichen Artikel, welche persönlich verfaßt und signiert werden, müssen ebenfalls als die Gesamtheit unserer GenossInnen angehend und als besondere Bezugspunkte ihrer gemeinsamen Forschung betrachtet werden. Wir wenden uns gegen das Weiterbestehen solcher Formen wie der literarischen Revue oder der künstlerischen Revue“. So wurde in Numéro 2 (S 36) proklamiert — ohne Zweifel der Intention des Genossen Direktors Debord entsprechend. Da die ’NossInnen aber so freien Mutes waren, gleich im nächsten Absatz die freie Reproduktion & Übersetzung aller Texte, selbst ohne Quellenangabe, zu erlauben, erlauben wir uns davon respektvoll Gebrauch zu machen — die Quellen geben wir nicht nur an, sondern bemühen uns auch, diesen in der Darstellung gerecht zu werden, so weit es im WWW raisonnabler Weise möglich ist.

Dargeboten werden hier die Originaltexte nebst deren deutsch- und englischsprachiger Übersetzung. Die deutschsprachigen Übersetzungen wurden auch vollständig auf http://www.si-revue.de/ veröffentlicht, die englischsprachigen auf http://www.cddc.vt.edu/sionline/si/situ.html.

Rubriken

Numéro 1

  • Amère victoire du surréalisme
  • Le bruit et la fureur
  • La liberté pour quoi lire ? Des bêtises
  • La lutte pour le contrôle des nouvelles techniques de conditionnement
  • Avec et contre le cinéma
  • Contribution à une définition situationniste du jeu
  • Problèmes préliminaires à la construction d’une situation
  • Définitions
  • Formulaire pour un urbanisme nouveau
  • Thèses sur la révolution culturelle
  • Les situationnistes et l’automation
  • Pas d’indulgences inutiles
  • Nouvelles de l’Internationale
  • Une guerre civile en France

Numéro 2

  • Les souvenirs au-dessous de tout
  • Ce que sont les amis de « Cobra » et ce qu’ils représentent
  • L’absence et ses habilleurs
  • L’effondrement des intellectuels révolutionnaires
  • Le tournant obscur
  • Renseignements situationnistes
  • Essai de description psychogéographique des Halles
  • Théorie de la dérive
  • Sur nos moyens et nos perspectives
  • Nouvelles de l’Internationale

Numéro 3

  • Le sens du dépérissement de l’art
  • Le cinéma après Alain Resnais
  • Le détournement comme négation et comme prélude
  • L’urbanisme unitaire à la fin des années 50
  • Renseignements situationnistes
  • La troisième Conférence de l’I.S. à Münich
  • Discussion sur un Appel aux intellectuels et artistes révolutionnaires
  • Plate-forme pour une révolution culturelle
  • Rapport inaugural de la Conférence de Munich
  • Première proclamation de la section hollandaise de l’I.S.
  • Discours sur la peinture industrielle et sur un art unitaire applicable
  • Positions situationnistes sur la circulation
  • Une autre ville pour une autre vie

Numéro 4

  • Sur l’emploi du temps libre
  • Die Welt als Labyrinth
  • La chute de Paris
  • Théorie des moments et construction des situations
  • Renseignements situationnistes
  • Esquisses programmatiques
  • La fin de l’économie et la réalisation de l’art
  • Signal pour commencer une culture révolutionnaire en Israel
  • Description de la zone jaune
  • Originalité et grandeur
  • À propos de quelques erreurs d’interprétation
  • Gangland et philosophie
  • Manifeste

Numéro 5

  • L’aventure
  • La minute de vérité
  • La frontière situationniste
  • Renseignements situationnistes
  • L’opinion commune sur l’I.S., cette année
  • La quatrième conférence de l’I.S. à Londres
  • Intervention de J. Nash (Suède)
  • Rapport sur le terrain de l’I.S.
  • Résolution sur le Bureau d’urbanisme unitaire
  • Déclaration faite au nom de la IVe Conférence de l’I.S.
  • Préface à l’unité scénique « Personne et les autres »
  • La création ouverte et ses ennemis
  • Réponse à Schweicher

Numéro 6

  • Instructions pour une prise d’armes
  • Critique de l’urbanisme
  • Encore une fois, sur la décomposition
  • Défense inconditionnelle
  • Programme élémentaire du Bureau d’urbanisme unitaire
  • Perspectives de modifications conscientes dans la vie quotidienne
  • Sur la répression sociale dans la culture
  • La pataphysique, une religion en formation
  • Commentaires contre l’urbanisme
  • Renseignements situationnistes

Numéro 7

  • Géopolitique de l’hibernation
  • Les mauvais jours finiront
  • Du rôle de l’I.S.
  • Communication prioritaire
  • La Cinquième Conférence de l’I.S. à Göteborg
  • Banalités de base
  • Sunset boulevard
  • L’étage suivant
  • Renseignements situationnistes

Numéro 8

  • Domination de la nature, idéologies et classes
  • L’avant-garde de la présence
  • L’I.S. vous l’avait bien dit !
  • L’opération contre-situationniste dans divers pays
  • Définition
  • All the King’s men
  • Banalités de base (II)
  • Technique du coup de monde
  • La sixième conférence de l’I.S. à Anvers
  • Présentation de la revue « Situationistisk Revolution »
  • Répétition et nouveauté dans la situation construite
  • Internationale Situationniste
  • Rumeurs choisies
  • Renseignements situationnistes

Numéro 9

  • Maintenant, l’I.S.
  • Le monde dont nous parlons
  • L’I.S. vous l’avait bien dit !
  • Le questionnaire
  • « Mousse controlée »
  • M. Georges Lapassade est un con
  • Les mois les plus longs
  • Lettres de loin
  • Réponse à une enquête du Centre d’art socio-expérimental
  • Correspondance avec un cybernéticien
  • Annonce

Numéro 10

  • Le déclin et la chute de l’économie spectaculaire-marchande
  • Les luttes de classes en Algérie
  • L’I.S. et les incidents de Randers
  • Contribution au programme des conseils ouvriers en Espagne
  • Perspectives pour une génération
  • Les structures élémentaires de la réification
  • De quelques questions théoriques sans questionnement ni problématique
  • Adresse aux révolutionnaires d’Algérie et de tous les pays
  • Les mots captifs
  • De l’aliénation
  • Sur des publications de l’I.S.

Numéro 11

  • Le point d’explosion de l’idéologie en Chine
  • Deux guerres locales
  • Nos buts et nos méthodes dans le scandale de Strasbourg
  • Les situationnistes et les nouvelles formes d’action contre la politique et l’art
  • Avoir pour but la vérité pratique
  • Contributions servant à rectifier l’opinion du public sur la révolution dans les pays sous-développés
  • La séparation achevée
  • Jugements choisis
  • Définition minimum des organisations révolutionnaires
  • Factices
  • La septième conférence
  • Récentes exclusions
  • Quand Axelos avait trouvé un disciple
  • Quelques refus aisément prévisibles
  • Un moraliste
  • L’U.G.A.C. et son peuple
  • Six additifs au précédent numéro
  • Misères de la librairie
  • À propos de notre diffusion
  • L’or de l’I.S.
  • Lire I.C.O.
  • Sur deux livres de théorie situationniste
  • Précisions sur la trahison dans la C.N.T.
  • Révolte et récupération en Hollande
  • Les scissions de la F.A.
  • L’idéologie alsacienne

Numéro 12

  • Le commencement d’une époque
  • Reforme et contre-reforme dans le pouvoir bureaucratique
  • Comment on ne comprend pas des livres situationnistes
  • Jugements choisis
  • Préliminaires sur les conseils et l’organisation conseilliste
  • Avis aux civilisés relativement à l’autogestion généralisée
  • La conquête de l’espace dans le temps du pouvoir
  • La pratique de la théorie
  • Documents
  • La question de l’organisation pour l’I.S.
  • Correspondance avec un éditeur

Schriften der Situationisten

  • Die Gesellschaft des Spektakels

Filme von Guy Debord

  • Critique de la séparation
  • Hurlements en faveur de Sade
  • In girum imus nocte et consumimur igni
  • La société du spectacle
  • Réfutation
  • Sur le passage de quelques personnes à travers une assez courte unité de temps

Die Situationistische Internationale (S.I.) war eine 1957 gegründete linke Gruppe europäischer Künstler und Intellektueller (darunter politische Theoretiker, Architekten, freischaffende Künstler), die vor allem in den 1960er Jahren aktiv war. Die Situationisten beeinflussten die politische Linke, speziell im Umfeld des Pariser Mai 1968, die Entwicklung der Methoden der Kommunikationsguerilla und die internationale Kunstszene, insbesondere die Popkultur. Die Zahl der Mitglieder lag zwischen zehn und 25.[1] Über die Zeit waren insgesamt ca. 70 Personen beteiligt. 1972 gab die Gruppe ihre Selbstauflösung bekannt.

Konzept[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Die Situationisten operierten an der Schnittstelle von Kunst und Politik, Architektur und Wirklichkeit und setzten sich für die Realisierung der Versprechungen der Kunst im Alltagsleben ein. Sie forderten unter anderem die Abschaffung der Ware, der Lohnarbeit, der Technokratie und der Hierarchien und entwickelten ein Konzept der „theoretischen und praktischen Herstellung von Situationen“, in denen das Leben selbst zum Kunstwerk werden sollte. Einige Situationisten waren in den Ausbruch der Studentenunruhen vom Mai 1968 verwickelt, die auf ganz Frankreich übergriffen und dort, anders als in Deutschland, weite Teile der Arbeiterklasse erfassten. Situationistische Ideen waren in den folgenden Jahren weit verbreitet und haben international in Kunst, Politik, Architektur und vor allem in der Popkultur Spuren hinterlassen, die sich bis in die Gegenwart ziehen. Ihre Aktionsformen wurden unter anderem im Fluxus und in der Performancekunst aufgegriffen.

Der Situationistischen Internationale werden einige bekannte Slogans der Zeit zugeschrieben:

Geschichte[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Zur Vorgeschichte[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Die situationistische Bewegung begann Anfang der 1950er Jahre im Frankreich von Sartre und Camus und war eng verbunden mit der Person von Guy Debord. Debord war die zentrale Figur in der Entwicklung der situationistischen Theorie und so etwas wie die graue Eminenz der Gruppe. Mit 19 Jahren fielen ihm 1951 beim Cannes Film Festival zunächst die avantgardistischen Lettristen auf, eine Künstlergruppe in der Tradition der Surrealisten, die man sonst nachts in heruntergekommenen Pariser Cafés antraf. Sie nahmen wegen der Uraufführung eines Filmes von Isidore Isou am Festival teil. Als junge Vertreter eines radikal romantischen Bohème-Lebensstils verursachten sie durch ihr Auftreten und ihren Film wegen der postulierten und eindrücklich zelebrierten Zerstörung des herkömmlichen Kinos in Cannes einen Skandal. Debord war fasziniert und schloss sich ihnen bald an.

Die Lettristen gaben die Zeitschrift Potlach heraus (benannt nach dem Potlatch, einem Gabenritual in nordwestamerikanischen indigenen Gemeinschaften), in der sich spätere Thesen und Ideen der Situationisten bereits abzeichneten. Einige Lettristen, u. a. Debord, schlossen sich nach einer Spaltung der Gruppe zur politischeren „Lettristischen Internationale“ zusammen, dem Vorläufer der Situationistischen Internationale. Yves Klein kannte die Lettristen seit dem Beginn der 1950er, René Magritte korrespondierte mit ihnen.

Gründung[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Die eigentliche Situationistische Internationale wurde dann am 28. Juli 1957 in Cosio d’Arroscia (50 km nordöstlich von Monaco) gegründet. Es vereinigten sich dabei die vom Maler Asger Jorn gegründete „Mouvement pour un Bauhaus Imaginiste“, die die Rolle des Künstlers in der Industriegesellschaft erforschte, die „Londoner Psychogeographische Gesellschaft“ von Ralph Rumney und die zuvor genannte „Lettristische Internationale“, mit dem Ziel der Schaffung einer Organisation zur praktischen Aufhebung der Trennung zwischen Kunst und Leben.

Mitglieder der S.I. waren Künstler und Künstlerinnen aus 10 Ländern wie etwa der Ungar Attila Kotányi, Jacqueline de Jong, Guillaume Faye, Hans Platschek, Ivan Chtcheglov, Raoul Vaneigem, Giuseppe „Pinot“ Gallizio, Piero Simondo, Elena Verrone, Edoardo Sanguineti, Alexander Trocchi, Uwe Lausen, Dieter Kunzelmann (Kommune 1), der wegen Nationalsituationismus ausgeschlossen wurde,[3] sowie die Mitglieder der Münchner Künstlergruppe SPUR (die in München 1959 nach erbitterten Diskussionen über die Rolle der Malerei mit der S.I. fusionierten, aber 1961 wieder ausgeschlossen wurden), oder Michèle Bernstein, Mustapha Khayati aus Tunesien, Abdelhafid Khatib aus Algerien, René Viénet und Gretel Stadler.

Aktivitäten[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Die Situationistische Internationale beschäftigte sich mit Malerei, Theorie, Geschichte und Stadtplanung.

Bei ihrer traditionelleren künstlerischen Arbeit nutzten die Situationisten neben der Malerei (Tachismus, Informel) häufig auch das Mittel der Collage, arbeiteten viel mit vorgefundenem Material, das sie leicht abänderten, übermalten oder neu kombinierten. Bilder wie die „Lockung“ von Asger Jorn (ein „umgestaltetes“ romantisches Landschaftsbild, in das Jorn grobe, angedeutete, freundliche Figuren in den Farbtönen der Landschaft hineinmalte), erzielen heute Preise von bis zu 800.000 Euro. Debord erstellte avantgardistische Filmcollagen und Filme wie „Durchgang einiger Personen durch eine kürzere Zeiteinheit“.

In der Zeit ihres Bestehens wanderte der Fokus der Arbeit von der Kunst zur Politik, künstlerische Arbeiten verstanden sich zunehmend als Visualisierungen geschichtlicher und kultureller Prozesse. Immer wieder kam es zu Meinungsverschiedenheiten innerhalb der Gruppe, die zu Austritten, Ausschlüssen, Abgrenzungen und Abspaltungen führten: Jede Konzession an herrschende Normen, jedes Zurücktreten hinter die revolutionären Maximalforderungen galt als Verrat. Das Verhältnis von Kunst und Politik sowie die Rolle der Malerei wurden immer wieder diskutiert.

Constant[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Es wurden von 1957 an verschiedene Aktionen und Ausstellungen geplant und teils realisiert, von denen zum Beispiel „New Babylon“ (1960) von Constant (mit vollem Namen Constant Nieuwenhuys) große Aufmerksamkeit erregte: Er konzipierte eine Stadt für einen „spielerischen“, mobilen Menschen, den die Automatisierung aus seiner geregelten Berufswelt geworfen hatte und der nun seine Kreativität entfalten konnte. Constant entwarf damit eine moderne Gegenwelt zu den Konzepten von Le Corbusier. 1959 schlug er vor, die Börse von Amsterdam niederzureißen, um an ihrer Stelle einen Spielplatz zu errichten. Für eine mit seinem Bekannten Pinot Gallizio befreundete Gruppe von Sinti und Roma in Alba, Norditalien entwarf er schon 1956 den Plan eines mobilen Camps.[4] Constants Arbeiten bewegten sich zwischen Malerei und Architektur. Seine sehr konkreten Vorschläge und sein Konzept, nur neue Gebäude zu verwenden, stießen in der Gruppe auch auf Kritik. Debord war beispielsweise eher an den Ablagerungsspuren der Zeit in der Stadt, an den Schichten von Erinnerung interessiert. Es kam daraufhin zum Bruch mit der Gruppe. Constant wurde sein künstlerischer Erfolg zum Vorwurf gemacht und es wurden ihm egoistische Strategien unterstellt.

Die Welt als Labyrinth[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Ein Projekt in den Niederlanden 1960 („Die Welt als Labyrinth“), ein Labyrinth im Auftrag des Amsterdamer Stedelijk Museums, entfachte ebenfalls eine Kontroverse. Das Labyrinth war als „kombinierte, noch nie gesehene Umwelt durch Verquickung innerer und äußerer Züge …“ geplant, wohnlicher Innenraum und städtischer Außenraum gingen ineinander über. Nebel, Regen oder Wind wurden künstlich erzeugt, Klänge von Tonbändern, Türen sollten Gelegenheiten zum Verirren vermehren. Das Projekt scheiterte schließlich an den Sicherheitsbedingungen des Museums – nur ein Vorwand nach Ansicht der Situationisten, die bereits Aktionen im Rahmen des Labyrinths geplant hatten, die die Ausstellungsbedingungen selbst thematisieren sollten.

Galerie Van de Loo[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Die Münchner „Galerie van de Loo“ organisierte Ausstellungen von einigen Situationisten. Dabei wurden Vorwürfe gegenüber dem Galeristen laut, er versuche die Gruppe in „wirkliche Künstler“ und „Theoretiker“ zu spalten, indem er individuelle Künstlerkarrieren fördere und die dahinterstehende Theorie ignoriere.

Finanzierung[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Finanziert wurden die Situationisten lange Zeit hauptsächlich durch den Verkauf der Arbeiten von Asger Jorn und anderen Künstlern; des Weiteren waren viele unter ihnen nebenerwerbstätig. Zudem sorgte ein wohlhabender Freund und Gönner von Debord, der Filmproduzent Gérard Lebovici, dafür, dass seine Filme gedreht und aufgeführt werden konnten.[5]

Theorie[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Die Gruppe hielt regelmäßig internationale Konferenzen ab, bei denen Theorien ausgearbeitet, diskutiert und erprobt wurden.

In ihrer Zeitschrift „internationale situationniste“ präsentierte die S.I. ihre Ideen, kommentierte die Weltlage und persönliche Affären und beschimpfte und verhöhnte die gesamte politische und kulturelle Elite der Zeit, darunter oftmals besonders diejenigen, die öffentlich mit ihnen sympathisierten oder scheinbar ähnliche Ansichten vertraten (wie etwa den Regisseur Jean-Luc Godard). Die Zeitschrift wurde 1961 in Deutschland beschlagnahmt und einige Mitglieder wurden verhaftet. Erbitterte Feinde der Situationisten waren Soziologen und Kybernetiker wie Abraham Moles, aber auch die vielen dogmatischen, teils stalinistischen kommunistischen Gruppierungen der Zeit.

Debord verfasste 1957 den „Rapport über die Konstruktion von Situationen und die Organisations- und Aktionsbedingungen der Internationalen Situatonistischen Tendenz“ sowie die „Vorschläge für ein Aktionsprogramm der SI“. Als sein Hauptwerk gilt „Die Gesellschaft des Spektakels“ (1967). Die Erlebnisse und Diskussionen mit den Lettristen in Paris sind Thema von Debords „Mémoires“, einem Künstler-Buch, dessen erste Auflage nach Debords Anweisungen in Sandpapier gebunden werden sollte.

Raoul Vaneigem betonte in seinem „Handbuch der Lebenskunst für die jungen Generationen“ von 1967 besonders die Wichtigkeit der Gabe, der Subjektivität, der Poesie und des Spiels. Für ihn bot die Moderne nur noch eine würdelose, rationalisierte Form des „Überlebens“, kein wirkliches „Leben“.

Asger Jorn verfasste u. a. das Buch „Open Creation and its Enemies“ (in Anlehnung an PoppersThe Open Society and its Enemies“), in dem er ein Ideal freier menschlicher schöpferischer Tätigkeit und Gestaltung entwickelte und untersuchte, was dieser heute entgegensteht.

Der „Straßburg-Skandal“[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

1966 erschien in Straßburg das Pamphlet „Über das Elend im Studentenmilieu, betrachtet unter seinen ökonomischen, politischen, sexuellen und besonders intellektuellen Aspekten und über einige Mittel diesen abzuhelfen“,[6] das Studierende vom lokalen Büro der „UNEF“ auf Kosten der Universität Straßburg in einer 10.000er-Auflage gedruckt hatten. Darin übten die Situationisten fundamentale Kritik am Studierenden als unmündig und abhängig gehaltenem Mitglied der Gesellschaft, am Studierendenstatus, an der Selbstherrlichkeit einer studentisch-alternativen Subkultur, an Religion und am ganzen Wirtschaftssystem. Sie verspotteten die Blindheit gegenüber der Ökonomisierung der Bildung in der Broschüre, für die eine angebliche „Gesellschaft zur Würdigung des Anarchismus“ als Herausgeber fungierte:

„Dem Studenten wird nicht einmal bewusst, dass die Geschichte auch seine lächerliche ‚abgeschlossene‘ Welt verändert. Die berühmte ‚Universitätskrise‘, Detail einer allgemeineren Krise des modernen Kapitalismus, bleibt Gegenstand eines tauben Dialogs zwischen verschiedenen Spezialisten. In ihr kommen ganz einfach die Schwierigkeiten einer verspäteten Anpassung dieses besonderen Produktionssektors an die Umwandlung des gesamten Produktionsapparates zum Ausdruck. Die Überreste der alten Ideologie einer liberal-bürgerlichen Universität werden in dem Augenblick nichtssagend, wo ihre gesellschaftliche Basis verschwindet. Die Universität konnte sich in der Epoche des Freihandelskapitalismus und seines liberalen Staates als autonome Macht verstehen, da er ihr eine gewisse marginale Freiheit gewährte. Sie hing in Wirklichkeit eng von den Bedürfnissen dieser Art von Gesellschaft ab: der privilegierten studierenden Minderheit eine angemessene Allgemeinbildung zu vermitteln, bevor sie sich wieder in die herrschende Klasse einreiht, die sie kaum verlassen hatte.“

Die für den Druck verantwortlichen Studenten wurden daraufhin von der Hochschule exmatrikuliert, die Broschüre aber fand weite Verbreitung unter den 1968 revoltierenden Studierenden und wurde auch in andere Sprachen übersetzt. Unterdessen legte der Rektor der Straßburger Universität ihren Verfassern empört eine psychiatrische Behandlung nahe.

Mai 1968[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

„Eine neue Studentenideologie verbreitet sich in der Welt – es ist die entwässerte Version des jungen Marx, die sich ‚Situationismus‘ nennt.“

Daily Telegraph vom 22. April 1967

Im Mai 1968 kam es in Frankreich zu Unruhen. Aus einer Besetzung der Pariser Universität Sorbonne entwickelte sich am Ende ein Generalstreik.

René Viénet, der wie zwei weitere Mitglieder der S.I. direkt an den Besetzungen an der Sorbonne beteiligt war, schreibt über diese Zeit:

„Die kapitalisierte Zeit stand still. Ohne Zug, ohne Metro, ohne Auto, ohne Arbeit holten die Streikenden die Zeit nach, die sie auf so triste Weise in den Fabriken, auf den Straßen, vor dem Fernseher verloren hatten. Man bummelte herum, man träumte, man lernte zu leben.“

Von ihrer Verwicklung in die Studentenunruhen und ein paar Kunstskandalen abgesehen, blieben die weitaus radikaleren Forderungen der Situationistischen Internationalen größtenteils Theorie.

Ende[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

1972 löste sich die Gruppe auf, nach eigenen Angaben, um nicht zu erstarren und selbst zum Klischee zu werden, nicht zuletzt aber wohl auch aus Enttäuschung über die internationale Studentenbewegung und das von ihr Erreichte. Zu dieser Zeit bestand die Gruppe nur noch aus einem kleinen Kreis um Debord.

Im angelsächsischen Raum existierten noch längere Zeit situationistische Gruppen wie King Mob oder das Bureau of Public Secrets von Ken Knabb. Bekannt sind Aktionen wie der falsche Weihnachtsmann von King Mob, der zur Weihnachtszeit in Kaufhäuser ging und dort das Spielzeug aus den Regalen direkt an Kinder verschenkte. Die herbeigerufene Polizei musste den Kindern die Waren wieder abnehmen, die dann ungläubig dabei zusahen, wie der Weihnachtsmann verhaftet wurde.

Ziele[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Kunst und Leben[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Die Situationisten versuchten, ästhetische Konzepte auf die Gesellschaft zu übertragen, ähnlich wie Joseph Beuys, Fluxus, die Konzeptkunst und andere Strömungen in der Kunst: „Ästhetisch“, bezogen auf ihren Kunstbegriff, waren Situationen, in denen sich Menschen unmittelbar frei und gleichberechtigt begegnen, austauschen, sich selbst verwalten, kreativ sind, sich ihren Leidenschaften hingeben und keinerlei unnötigen Zwängen mehr unterliegen.

„Wir meinen zunächst, daß die Welt verändert werden muß. Wir wollen die am weitesten emanzipierende Veränderung von der Gesellschaft und dem Leben, in die wir eingeschlossen sind. Wir wissen, daß es möglich ist, diese Veränderung durch geeignete Aktionen durchzusetzen. Es ist gerade unsere Angelegenheit, bestimmte Aktionsmittel anzuwenden und neue zu erfinden, die auf dem Gebiet der Kultur und der Lebensweise leichter zu erkennen sind, aber mit der Perspektive einer gegenseitigen Beeinflussung aller revolutionären Veränderungen angewandt werden.[7]

Rapport über die Konstruktion von Situationen

Die Situationisten agierten somit in der Tradition von Dada und Surrealismus: „Der neue Künstler protestiert“, schrieb Tristan Tzara 1919, „er malt nicht mehr symbolistische und illusionistische Reproduktion, sondern handelt unmittelbar schöpferisch“. Der situationistische Slogan „Nimm deine Wünsche für Wirklichkeit“ verweist direkt auf die Beschäftigung der Surrealisten mit Psychologie und wurde später von Gilles Deleuze und Félix Guattari im Begriff der Wunschmaschine weiterentwickelt. Ein weiterer Slogan lautete: „Leben ohne tote Zeit!“

In ihren Anfängen waren die Situationisten von der Philosophie des Existentialismus der 1950er Jahre mitgeprägt. Auch wenn sie sich nicht ausdrücklich auf ihn bezogen, hatte bereits Friedrich Schiller in seiner Schrift Über die ästhetische Erziehung des Menschen moralphilosophische Überlegungen angestellt, nach denen etwa der Zustand der Freiheit, verbunden mit ästhetischer Erziehung, den Menschen dazu bringe, aus eigenem Antrieb in „edler“ Weise moralisch zu handeln (23. Brief). Solche humanistischen Ideen lassen sich bis in die antike Philosophie zurückverfolgen.

Die Kunst selbst sollte nun durch ihre Verwirklichung im Leben „aufgehoben“ werden, was bedeutete, dass Poesie oder künstlerisches Denken und Handeln nicht mehr nur auf Leinwänden, sondern in der Gestaltung der alltäglichen Lebenswelt Aller stattfinden sollte. Dies bedeutete das „Ende der Kunst“ als besondere Kategorie, denn „alles“ wäre (auch) Kunst.

Ähnlich beabsichtigten die Situationisten mit der Grenze zwischen Arbeit und Freizeit zu verfahren. Arbeit als Mühsal, Fron, „entfremdete“ Lohnarbeit wurde als unnötig und dem menschlichen Wesen nicht gemäß empfunden, das Umhervagabundieren oder sich verlaufen, sich betrinken dagegen wurde mit dem Ernst von Wissenschaftlern künstlerisch erforscht und dokumentiert.

Die Gesellschaft des Spektakels[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Das bekannteste literarische Werk aus dem Umfeld der S.I. ist Debords Buch „Die Gesellschaft des Spektakels“, eine radikale Abrechnung mit dem Kapitalismus und dem Ostblock-Sozialismus zugleich. Dabei nimmt Debord u. a. Bezug auf die Geschichte des Anarchismus, aber auch auf Motive von Hegel und auf Texte von Karl Marx sowie Georg Lukács. Es zeigt aber auch den Blick der Situationisten auf die Welt: Seit den 20er-Jahren habe sich in Ost und West gleichermaßen die Wirtschaft verselbstständigt, sei zu einer autonomen Macht geworden, die mit ihren Gesetzen das Leben der Menschen beherrsche. Das Spektakel transportiere verschiedene Ideologien, denen allen aber die Entfremdung des Menschen gemeinsam sei (siehe Haupt-Artikel Die Gesellschaft des Spektakels).

„Sei realistisch, verlange das Unmögliche“[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Die situationistische Kritik an der kapitalistischen Produktionsweise lehnte ein Zurück zu vermeintlich besseren alten Zuständen oder Mythen wie Religion, Ideologie oder „Natürlichkeit“ als regressiv ab. Sie vertrauten u. a. auf die befreienden Wirkungen von Technik und hatten die Zweckentfremdung und Umgestaltung der modernen Industriegesellschaft durch Liebe, Subjektivität, Kunst und Fantasie zu einem Ort, an dem Genuss, Zufall und Menschlichkeit wieder ihren rechtmäßigen Platz bekämen, vor Augen. Sie sahen ihre Revolte gegen die Technokratie und die erhoffte Revolution als ein Fest an. Eine ihrer Strategien war, den Kapitalismus mit seinen Glücksversprechen einfach beim Wort zu nehmen, dieses versprochene Glück also ganz real und sofort einzufordern, wodurch sich dann eine Diskrepanz zwischen Versprechen und Realität auftäte, die eine Überwindung des Kapitalismus befördern würde. Ihre politischen Vorstellungen für ein Danach sahen vage eine Rätedemokratie vor.

Die politischen Gruppen ihrer Zeit sahen sie als engstirnig, dogmatisch und ungebildet an und teilten ihnen dies auch immer wieder mit. Ideelle Verbündete waren die Zengakuren-Bewegung in Japan oder die Rocker, denen sie jedoch ein mangelndes Bewusstsein attestierten, durch das sie am Ende doch nur zu bloßen Konsumenten in einem rebellischen Outfit würden.

Titel eines späteren Films von Debord ist das lateinische Palindrom „In girum imus nocte et consumimur igni“ („Wir gehen des Nachts im Kreise und werden vom Feuer verzehrt“). Hier findet sich die Gruppe vielleicht in ihrer Grundstimmung auch zutreffend beschrieben, sie ahnten immer die Aussichtslosigkeit ihres Unterfangens und betrachteten es (auch) als Spiel.

In ihrer Theorie nahmen die Situationisten auf unterschiedliche Gedanken und Schriften von Baltasar Gracián, klassische Anarchisten, Charles Fourier, Marx, den jungen Georg Lukács und die Pariser Kommune Bezug. Sie lehnten aber den Ostblock-Realsozialismus genauso ab wie den westlichen Kapitalismus. Ihnen zufolge war es unwichtig, ob man in der kapitalistischen oder kommunistischen Fabrik monotone Arbeit verrichtete oder sich in der standardisierten modernen Wohnung beim Fernsehen langweilte, ob marxistische Führer und Parolen oder Werbung für Produkte auf den Werbetafeln erschienen, sie betonten die Ähnlichkeiten der beiden damals maßgeblichen Systeme im Alltagsleben des Einzelnen und waren immer mehr an Subversion, Metaebenen und Verwirklichung von Leidenschaften interessiert als an der Tagespolitik, den Ideologien, Moden oder Parteien, die sie alle als Teil des Spektakels ablehnten. Nicht nur in den Befürwortern und Vertretern der bestehenden Ordnung, sondern besonders in einer verwässerten, konsumierbaren (Schein-)Kritik am Bestehenden, die letztlich nur sein Fortbestehen ermöglicht, sahen sie ihre Opponenten.

Dem Menschenbild des Homo oeconomicus stellten die Situationisten das des Homo ludens gegenüber. Sie wandten sich somit gegen jede Verfestigung, Erstarrung, Verabsolutierung. Dabei betonten sie immer wieder, dass es keinen Situationismus als „-ismus“ als starre Ideologie gebe: Sie behaupteten, der Begriff Situationismus sei eine Erfindung ihrer Gegner. Sie wandten sich auch gegen ihre eigenen Verehrer, denen sie vorwarfen, ihre Bewunderung stelle nur eine Form von Konsum und Mystifikation dar, keine „aktive“ Teilnahme an ihrem Projekt.

„Die kapitalistische bzw. angeblich antikapitalistische Welt organisiert das Leben spektakulär … Es kommt nicht darauf an, das Spektakel der Verweigerung auszuarbeiten, sondern das Spektakel selbst abzulehnen. Die Elemente der Zerstörung des Spektakels müssen gerade aufhören, Kunstwerke zu sein, damit ihre Ausarbeitung KÜNSTLERISCH im neuen und authentischen von der S.I. definierten Sinne ist. Es gibt weder einen ‚SITUATIONISMUS‘, ein situationistisches Kunstwerk noch einen spektakulären Situationisten. Ein für allemal.[8]

Raoul Vaneigem

Zeitgenossen reagierten auf ihre Radikalität teils spöttisch, teils hysterisch. Situationistische Ideen wurden aber sehr populär und Autoren wie Henri Lefebvre sympathisierten in Zeitschriften wie „Das Argument“ offen mit ihnen.

Psychogeographie[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Situationisten gingen immer vom subjektiven Erleben des Einzelnen, seinen Wünschen und Begierden aus. Dies war für sie der Angelpunkt jeder politischen Forderung.

Ziel war die Auflösung der Grenze zwischen Kunst und Leben ebenso wie eine grundlegende Umgestaltung der Stadtstrukturen und der gesellschaftlichen Normen. Die S.I. agierte sowohl mittels künstlerischer Aktionen als auch politisch und „psychogeographisch“. Der Begriff „Psychogeographie“ bezog sich auf die Bewegung und das Leben in Städten, aber auch auf die Stadtplanung und die Organisation der psychischen Potentiale. Es ging den Situationisten um die Erfindung neuer Bedingungen des Lebens, jenseits von wirtschaftlichen Sachzwängen, die neue Möglichkeiten menschlichen Verhaltens („Abenteuer“) bieten würden.

Medien[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Mit umgestalteten Comics, in denen die Texte ausgetauscht und mit situationistischen Ideen ersetzt wurden, mit ihren Postern, Grafiken, Publikationen und Aktionen stellten sie auch eine frühe Form der Kommunikationsguerilla dar. Sie arbeiteten zugleich auf theoretischer, symbolischer und praktischer Ebene. Interessiert verfolgten sie die Berichterstattung über sich selbst in den Medien und druckten gerne Verrisse ihrer Gruppe in ihrer eigenen Zeitung ab.

Stil[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Entscheidend waren für Situationisten immer auch die Fragen des Stils, von ähnlichen politischen Bestrebungen grenzten sie sich u. a. auch durch ihre zelebrierte Eleganz ab, die zum Beispiel in ihrer Sprache, den Inszenierungen ihrer Konferenzen oder der klaren und minimalen Ästhetik ihrer Publikationen Ausdruck fand. Die Ästhetik der Hippie-Bewegung wiesen sie zurück.

Wichtige Begriffe[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Die Situationisten führten Begriffe ein wie:

  • „Trennung“ (die „Atomisierung“ der menschlichen Beziehungen unter den Bedingungen des „Spektakels“)
  • „Dérive“ (das Erkunden einer Stadt durch zielloses Umherschweifen)
  • „Détournement“ (die Zweckentfremdung beispielsweise von Filmsequenzen, Fotos, Comicbildern, Gebäuden durch veränderten Text/Kommentar/Schnitt/Gebrauch)
  • „Rekuperation“ (die jedes Mal stattfindende Vereinnahmung oder die Simulation von Rebellion, Rebellion als Ware)

Zitate[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

„Sobald ein mythisches Gebäude in Widerspruch zu der sozioökonomischen Wirklichkeit tritt, öffnet sich ein leerer Raum zwischen der Lebensweise der Menschen und der herrschenden Erklärung der Welt, die plötzlich unangemessen wird, auf dem Rückzug ist.“

„Die Liebe ist niemals von einem gewissen heimlichen Widerstand abgerückt, den man Intimität getauft hat. Sie wurde von dem Begriff des Privatlebens geschützt, aus dem hellen Tag vertrieben (der der Arbeit und dem Konsum vorbehalten ist) und in die verborgenen Winkel der Nacht, in das gedämpfte Licht verdrängt. Auf diese Weise ist sie der großen Integrierung der Aktivitäten des Tages entgangen“

aus dem Handbuch der Lebenskunst für die jungen Generationen

„Der Dadaismus wollte die Kunst aufheben, ohne sie zu verwirklichen; und der Surrealismus wollte die Kunst verwirklichen, ohne sie aufzuheben. Die seitdem von den Situationisten erarbeitete kritische Position hat gezeigt, daß die Aufhebung und die Verwirklichung der Kunst die unzertrennlichen Aspekte ein und derselben Überwindung der Kunst sind.“

„Mit der Automation, die der fortgeschrittenste Bereich der modernen Industrie und zugleich das Modell ist, in dem sich deren Praxis vollkommen zusammenfaßt, muß die Warenwelt den folgenden Widerspruch überwinden: die technische Instrumentierung, die objektiv die Arbeit abschafft, muß gleichzeitig die Arbeit als Ware und als einzigen Geburtsort der Ware erhalten. Damit die Automation oder jede andere weniger extreme Form der Produktivitätssteigerung der Arbeit, die gesellschaftlich notwendige Arbeitszeit wirklich nicht verkürzt, müssen neue Arbeitsplätze geschaffen werden. Der Tertiärsektor, die Dienstleistungen sind das ungeheure Ausdehnungsfeld für die Etappenlinien der Distributions- und Lobpreisungsarmee der heutigen Waren; gerade in der Künstlichkeit der Bedürfnisse nach solchen Waren findet diese Mobilisierung von Ergänzungskräften glücklich die Notwendigkeit einer solchen Organisation der Nachhut-Arbeit vor.“

Guy Debord in Die Gesellschaft des Spektakels

„Nachdem man die Produkte der Avantgarde ästhetisch neutralisiert auf den Markt gebracht hat, will man nun ihre Forderungen, die nach wie vor auf eine Verwirklichung im gesamten Bereich des Lebens abzielen, aufteilen, zerreden und auf tote Gleise abschieben. Im Namen der früheren und jetzigen Avantgarde und aller vereinzelten, unzufriedenen Künstler protestieren wir gegen diese kulturelle Leichenfledderei und rufen alle schöpferischen Kräfte zum Boykott solcher Diskussionen auf. (…) Wir, die neue Werte schaffen, werden von den Hütern der Kultur nicht mehr nur lauthals bekämpft, sondern auf spezialisierte Bereiche festgelegt, und unsere Forderungen werden lächerlich gemacht.“

aus einem Flugblatt der Gruppe SPUR vom Januar 1961[9]

„Dieser Ausbruch ist hervorgerufen worden von einigen Gruppen, die sich gegen die moderne Gesellschaft auflehnen, gegen die Konsumgesellschaft, gegen die mechanische Gesellschaft, sei sie nun kommunistisch im Osten oder kapitalistisch im Westen. Gruppen, die (…) sich an der Negation, der Zerstörung, der Gewalt, der Anarchie ergötzen, die schwarze Fahne schwingen.“

De Gaulle am 7. Juni 1968 in einer Fernsehansprache über die Studentenunruhen und den Generalstreik

„Alle in der SITUATIONISTISCHEN INTERNATIONALE veröffentlichten Texte dürfen frei und auch ohne Herkunftsangabe abgedruckt, übersetzt oder bearbeitet werden.“

Text auf der ersten Innenseite jeder Ausgabe der „internationale situationniste“

Folgen bis heute[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Die Einordnung in die Kunstgeschichte, und das Heraustreten aus ihr[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Die Situationisten stellen eine der letzten klassischen Avantgarden des 20. Jahrhunderts dar, ihr Ende markiert für manche Betrachter auch den Übergang zur Postmoderne. In Amerika etwa waren Künstler wie Andy Warhol schon längst dabei, mit einer seriellen Ästhetik der Ware zu arbeiten oder ihre eigene Entfremdung zu genießen und somit zu negieren. Mit der Postmoderne kamen auch andere Arten des Sprechens auf, Strategien wie Ironie oder scheinbarer oder wirklicher Affirmation. Aus Sicht Debords bestand die Notwendigkeit einer radikalen Negation der bestehenden Verhältnisse jedoch fort. Pop-Art und andere Spielarten des Kunstbetriebs widerlegen aus situationistischer Sicht nicht das Ende der Kunst.

Heutige Rezeption[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Die künstlerische Rezeption der situationistischen Bewegung heute ist sehr unterschiedlich und auch kontrovers: Die Spannbreite reicht von einer Wahrnehmung der Situationisten als rein avantgardistischer oder architekturtheoretischer Künstlergruppe mit (wort)radikalem Gestus, über verklärend-verharmlosende affirmative Aneignungen im Kunstbereich oder sogar in der Werbung, über Weiterentwicklungen und Hybridisierungen ihrer Theorie in Kunst wie in Politik bis hin zu Darstellungen der S.I. als rein politischer linksradikaler Gruppierung, die die Kunst nur noch überwinden und real ausschließlich eine politische Revolution verursachen wollte. Dabei werden häufig die innere Heterogenität und die Diskussionen innerhalb der Gruppe übersehen. Die Situationisten selbst verstanden ihre Forderungen nachweislich von Anfang an auch als politisch. Das Verhältnis zur Kunst und Künstlerrolle wandelte sich dabei im Laufe der Zeit mit der Struktur der Mitglieder.

Viele ursprünglich situationistische Forderungen werden heute diffus „den 68ern“ zugeschrieben. Andere gerieten wieder in Vergessenheit. Verwandtschaften und selbsterklärte Nachfolger finden sich u. a. in:

Kunst[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Die Fluxus-Bewegung hatte teils ähnliche Ziele und Methoden, war aber wesentlich weniger politisch orientiert und bewegte sich mit ihren Happenings eher auf sicherem Kunstterrain.

Auch in der zeitgenössischen Kunst bezieht man sich hin und wieder auf situationistische Forderungen, zum Beispiel im Park Fiction Projekt.

Das Zentrum für Kunst und Medientechnologie widmete Guy Debord 2001 eine große Ausstellung.

Tachistische Malerei findet sich fast nur noch als Design auf Kleidung, Autos und Gardinen.

Psychogeographische Fragestellungen werden u. a. in der Architekturpsychologie erforscht.

Das Museum Tinguely zeigte vom 4. April bis 5. August 2007 in Basel eine umfangreiche, in Kooperation mit dem Centraal Museum Utrecht entwickelte Ausstellung über die Situationistische Internationale unter dem Motto „In girum imus nocte et consumimur igni“.

Musik[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Situationistische Ideen bzw. eine radikale Ästhetik („radical chic“) wurden von einigen Hardcore-Punk-Bands wie Nation of Ulysses oder der schwedischen Band Refused aufgegriffen: In ihren beigelegten Booklets forderten sie die Aufhebung der Grenze zwischen Kunst und Leben, was ihrer Meinung nach nur durch revolutionäre Überwindung des Kapitalismus möglich sei. Malcolm McLaren und Jamie Reid, Manager und Grafiker der Sex Pistols haben sich an der Hochschule für die Ideen und Aktionen der S.I. begeistert. Ebenso wurden die Manic Street Preachers, Beck, Die Goldenen Zitronen, Bernadette La Hengst, Schwabinggrad Ballett, Tocotronic, Pussy Riot u. a. von den Situationisten beeinflusst.[10][11]

Politik[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Die Zeitschrift Pflasterstrand verwies in ihrem Titel auf das berühmte Zitat, geriet inhaltlich aber bald in Widerspruch zu situationistischen Forderungen.

Im angelsächsischen Raum berufen sich verschiedene Gruppen auf situationistische Ideen, etwa Angry Brigade, Class War, Neoismus und die Reclaim the Streets, Adbusters-Kampagnen oder Libre Society.

Die Kritik an der Arbeit wird von Gruppen wie den Glücklichen Arbeitslosen fortgesetzt. Dabei wird die Kritik der Arbeit von der Notwendigkeit einer Kritik von Kapital und Staat getrennt, an diesem Zusammenhang hält die Arbeitskritik der Gruppe Krisis fest. Auch im Rahmen der Kritik am bestehenden Konsumismus wird auf die Situationisten Bezug genommen.[12]

Im Zuge einer aktuellen Diskussion um eine Neubewertung der Bewegung von 1968 in Deutschland, ihrer Motive und Folgen, kommen die Situationisten und ihre Ziele bisher kaum vor, im Vordergrund stehen zeitgenössische Protagonisten in Deutschland wie Rudi Dutschke.[13] Erst in jüngerer Zeit beginnt ein Teil der radikalen Linken in Deutschland zur Situationistischen Internationale zu debattieren. Biene Baumeister et al.[14] haben ein in diesen Kreisen beachtetes Einführungsbuch veröffentlicht. Darum gab es eine Diskussion in der Szenezeitschrift Phase II. Außerdem scheint sich die Berliner Gruppe „Freundinnen und Freunde der klassenlosen Gesellschaft“[15] locker auf die Situationistische Internationale zu beziehen, deren Texte sie auch verlegen. Interessant in dieser Hinsicht ist eine kaum beachtete Szenezeitschrift, die sich schlicht „MAGAZIN“[16] nennt und sich offensichtlich in der Tradition der Situationistischen Internationale verortet – wenn auch die Einflüsse dieser Zeitschrift vielfältig sind und bis zur deutschen Klassik und den französischen Aufklärern reichen. Die beiden letztgenannten Gruppen lehnen das erwähnte Einführungsbuch vehement ab und bezeichnen dessen Autoren als „Anti-Situationisten“, wobei im Fall des „MAGAZIN“[17] die politischen Gegner auch im Stil der S.I. als „Klobürsten“ bezeichnet werden.

Philosophie[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Von situationistischen Ideen beeinflusst ist die Philosophie der Postmoderne (Poststrukturalismus), beispielsweise frühe Werke des Philosophen Jean Baudrillard („Die Agonie des Realen“) oder der Begriff des Simulacrum. Da Baudrillard die Ununterscheidbarkeit von Realität und Simulation behauptet, läuft seine Theorie auf die Unmöglichkeit von Kritik hinaus.

Der Schriftsteller Greil Marcus stellte in seinem Buch „Lipstick Traces“ gedankliche Verbindungen zwischen Traditionen der christlichen Mystik, der Kunstrichtung Dada, der Frankfurter Schule (Adorno), den Situationisten und Punk her.

Zu den Zeitschriften, die in Frankreich an die situationistische Kritik anknüpften, gehören die von Jaime Semprun geleitete Encyclopédie des Nuisances, zu der Debord einzelne Beiträge schrieb, und das 1997–2008 erschienene Journal Oiseau-tempête (Sturmvogel). Auf der Homepage beschrieb sich der Oiseau-Tempête am 30. Juli 2004 folgendermaßen: „Oiseau-Tempête, eine sozialkritische Revue, wird seit 1997 von einem Kollektiv aus 10-15 Leuten herausgegeben, die verschiedenen politischen Richtungen zuzuordnen sind. Einige sind von anarchistischen oder marxistischen Ideen inspiriert, andere von den Situationisten oder Surrealisten […] Das Projekt […] ist gleichzeitig ein kommunistisches, libertäres und internationalistisches Projekt. Unser Ziel ist die gemeinsame Nutzung und Verteilung aller Reichtümer und Aufgaben, und wir lehnen jede Form von institutionalisierter Macht und überflüssiger Vermittlung (Mediation) ab. Wir glauben, dass die allgemeine Freiheit die notwendige Bedingung für jegliche individuelle Freiheit ist.“[18]

Subkultur[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Malcolm McLaren gibt an, er habe Punk wegen der Situationisten erfunden. Situationistische Strategien und Überzeugungen leben in manchen Aktionen der Kommunikationsguerilla oder der Hacker-Kultur fort. Das spätere Konzept der temporären autonomen Zone des Schriftstellers Hakim Bey ähnelt dem der situationistischen Situation. Die Streetart-Künstlerin Miss.Tic wurde in den 70er Jahren im Umfeld der späten Situationisten künstlerisch und politisch sozialisiert. Sie spielte Straßentheater in der Gruppe Zéro de Conduite.[19]

Siehe auch[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Literatur[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

  • Texte zur Dialektik 7: Situationistische Internationale. Verlag Trikont Duisburg und Verlag Dialog-Edition, Duisburg 2016, ISBN 978-3-945634-29-5.
  • Christopher Gray: Leaving the 20th Century. The Incomplete Work of the Situationist International. Free Fall Publications, London 1974, ISBN 0-9503532-0-5, (Auch: Rebel Press, London 1998, ISBN 0-946061-15-7).
  • Gesammelte Ausgaben des Organs der Situationistische Internationale. 2 Bände. MaD Verlag (Bd. 1), Edition Nautilus (Bd. 2), 1976/1977 (vergr. / Neuherausgabe).
  • Raoul Vaneigem: Handbuch der Lebenskunst für die jungen Generationen. 3. Auflage. Edition Nautilus – Lutz Schulenburg, Hamburg 1980, ISBN 3-921523-50-8.
  • Guy Debord: Rapport über die Konstruktion von Situationen und die Organisations- und Aktionsbedingungen der internationalen situationistischen Tendenz und andere Schriften. Edition Nautilus – Lutz Schulenburg, Hamburg 1980, ISBN 3-921523-33-8, (Flugschrift 23).
  • Ken Knabb: Situationist International. Anthology. 3rd Printing. Bureau of Public Secrets, Berkeley CA 1995, ISBN 0-939682-00-1.
  • Roberto Ohrt (Hrsg.): Der Beginn einer Epoche. Texte der Situationisten. Edition Nautilus, Hamburg 1995, ISBN 3-89401-243-9.
  • Guy Debord: Die Gesellschaft des Spektakels. Herausgegeben von Klaus Bittermann. Edition Tiamat, Berlin 1996, ISBN 3-923118-97-X, (Critica Diabolis 65).
  • René Viénet: Paris Mai 68. Wütende und Situationisten in der Bewegung der Besetzungen, hrsg. von den „Freundinnen und Freunden der klassenlosen Gesellschaft“, Berlin 2006 [2].
  • Texte der Situationistischen Internationale. Acht Broschüren, herausgegeben von den „Freundinnen und Freunden der klassenlosen Gesellschaft“. Berlin 2006/2007 [3].
  • Wolfgang Scheppe und Roberto Ohrt (Hrsg.): The Most Dangerous Game. Band 1 & 2. Merve, Berlin 2018, ISBN 978-3-96273-018-5.

Sekundärliteratur[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

  • Biene Baumeister Zwi Negator (Künstlernamen): Situationistische Revolutionstheorie, Vol. 1. Eine Aneignung. Enchiridon, Schmetterling Verlag, 1. Auflage Stuttgart 2005, 240 Seiten, ISBN 3-89657-586-4
  • Gianluigi Balsebre, Della critica radicale. Bibliografia ragionata sull'internazionale situazionista con appendice di documenti inediti in italiano, Grafton 9 edizioni, Bologna, 1995.
  • Eckhard Siepmann, Dieter Kunzelmann, Wolfgang Dreßen (Hrsg.): Nilpferd des höllischen Urwalds. Spuren in eine unbekannte Stadt. Situationisten, Gruppe Spur, Kommune I, Anabas. , Anabas-Verlag, Giessen 1991, ISBN 3-87038-172-8, (Werkbund-Archiv 24).
  • Thomas Dreher: Zwischen Kunst und Lebensform. Von den Lettristen zu den Situationisten. In: Neue Bildende Kunst Nr. 6, 1992, ISSN 0941-6501, S. 11–15.
  • Andrew Hussey: The Game of War: The Life and Death of Guy Debord. London : J. Cape, 2001.
  • Greil Marcus: Lipstick Traces. Von Dada bis Punk – kulturelle Avantgarden und ihre Wege aus dem 20. Jahrhundert. Deutsch von Hans M. Herzog und Friedrich Schneider. Rogner & Bernhard bei Zweitausendeins, Hamburg 1992, ISBN 3-8077-0254-7.
  • Roberto Ohrt: Phantom Avantgarde. Eine Geschichte der Situationistischen Internationale und der modernen Kunst. 2. Auflage. Edition Nautilus u. a., Hamburg 1997, ISBN 3-89401-168-8, (Zugleich: Hamburg, Univ., Diss., 1989), (umfangreiche kunstgeschichtliche Würdigung, Darstellung der einzelnen Biographien und der Geschichte der Gruppe).
  • Zwi Schritkopcher: Die Situationisten (1958–1972). Auftakt zum Westlichen Communismus. In: Übergänge zum Kommunismus N°3/4, 1997.
  • Roberto Ohrt (Hrsg.): Das große Spiel. Die Situationisten zwischen Politik und Kunst. Edition Nautilus, Hamburg 2000, ISBN 3-89401-349-4.
  • Marvin Chlada: Eine andere Stadt für ein anderes Leben. Der Urbanismus der Situationisten. In: Quadratur. Kulturbuch, Bd. 4: Stadt, Blicke, FKO-Verlag, Duisburg/Köln 2002, S. 155–160, ISBN 3-9806677-4-X.
  • Catherine de Zegher, Mark Wigley (Hrsg.): The Activist Drawing. Retracing Situationist Architectures from Constant’s New Babylon to Beyond. MIT Press, Cambridge MA u. a. 2001, ISBN 0-262-04191-X.
  • Biene Baumeister, Zwi Negator: Situationistische Revolutionstheorie. Eine Aneignung. Band 1: Enchiridion. Schmetterling Verlag, Stuttgart 2005, ISBN 3-89657-586-4.
  • Kalle Lasn: Culture Jamming. Die Rückeroberung der Zeichen. Aktualisierte und erweiterte Übersetzung der englischsprachigen Original-Ausgabe. orange press GmbH, Freiburg (Breisgau) 2005, ISBN 3-936086-22-2.
  • Pia Wiegmink: Theatralität und öffentlicher Raum. Die Situationistische Internationale am Schnittpunkt von Kunst und Politik. Tectum, Marburg 2005, ISBN 3-8288-8935-2, (Kleine Mainzer Schriften zur Theaterwissenschaft 2).
  • Stephan Grigat, Johannes Grenzfurthner, Günther Friesinger (Hrsg.): Spektakel – Kunst – Gesellschaft. Guy Debord und die Situationistische Internationale (Vorträge, die auf dem gleichnamigen Symposium im Januar 2005 in der Kunsthalle Exnergasse in Wien gehalten wurden). Verbrecher Verlag, Berlin 2006, ISBN 3-935843-61-5., Als freies E-Book unter CC erhältlich..
  • archplus – Zeitschrift für Architektur. Nr. 183, Mai 2007, ISSN 0587-3452: Situativer Urbanismus.
  • Simon Ford: Die Situationistische Internationale. Eine Gebrauchsanleitung. Edition Nautilus, Hamburg 2007, ISBN 978-3-89401-545-9, (Kleine Bücherei für Hand und Kopf 58).
  • Selima Niggl: Pinot Gallizio. Malerei am laufenden Meter – München 1959 und die europäische Avantgarde. Edition Nautilus, Hamburg 2007, ISBN 978-3-89401-544-2.
  • Max Jakob Orlich: Situationistische Internationale. Eintritt, Austritt, Ausschluss. Zur Dialektik interpersoneller Beziehungen und Theorieproduktion einer ästhetisch-politischen Avantgarde (1957–1972). transcript Verlag, Bielefeld 2011, ISBN 978-3-8376-1748-1.
  • Ralph Rumney: Der Konsul. Beiträge zur Geschichte der Situationistischen Internationale. Edition Tiamat Berlin 2011, ISBN 978-3-89320-149-5.
  • Anna Trespeuch-Berthelot: Internationale situationniste. Presses universitaires de France, Paris 2015, ISBN 978-2-13-061970-3.
  • McKenzie Wark: The Beach Beneath the Street: The Everyday Life and Glorious Times of the Situationist International. Verso, London & Brooklyn 2011. ISBN 978-1-84467-720-7.
  • McKenzie Wark: The Spectacle of Disintegration: Situationist Passages out of the 20th Century. Verso, London & Brooklyn 2013, ISBN 978-1-84467-957-7 (Print), ISBN 978-1-84467-958-4 (E-Book).
  • Frances Stracey: Constructed situations: a new history of the situationist international. Pluto Press, London 2014.

Weblinks[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Commons: Situationist International – Sammlung von Bildern, Videos und Audiodateien

Texte von Situationisten[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Sekundärtexte[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Kritik[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Bilder, Grafiken etc.[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

Einzelnachweise[Bearbeiten | Quelltext bearbeiten]

  1. Orlich, Max: Situationistische Internationale. Eintritt, Austritt, Ausschluss, Bielefeld, 2011, S. 161.
  2. Kathrin Hondl: Niemals werde ich irgendetwas erklären. deutschlandfunkkultur.de, 30. März 2013, abgerufen am 16. Dezember 2018.
  3. „Situationistische Revolutionstheorie“ – Communistische Aktualität und linke Verblendung (PDF; 178 kB) von Biene Baumeister Zwi Negator, abgerufen am 26. September 2008.
  4. Roberto Ohrt, Phantom Avantgarde, Edition Nautilus, Hamburg, 1990, S. 118f.
  5. Thomas Y. Levin: »Ciné qua non«: Guy Debord und die filmische Praxis als Theorie, „7. Guy Debord als Filmemacher“
  6. [1] Über das Elend im Studentenmilieu … (Html-Dokument – Situationistische Internationale)
  7. Hier zitiert nach: Anja Seifert: Körper, Maschine, Tod Zur symbolischen Artikulation in Kunst und Jugendkultur des 20. Jahrhunderts, Wiesbaden 2004, S. 191
  8. Situationistische Internationale 1958 - 1969, gesammelte Ausgaben des Organs der Situationistischen Internationale, Band 1, MaD-Verlag Schulenburg, 1977, S. 279
  9. Flugblatt der Situationistischen Internationalen: Avantgarde ist unerwünscht!
  10. Detlef Berentzen: Kunstrebellen. Die „Situationistische Internationale“, in: Bayern 2, 25. Juli 2014 (Memento vom 23. August 2014 im Internet Archive)
  11. Christoph Schäfer: The City is Unwritten. Urban Experiences and Thoughts Seen Through Park Fiction.
  12. vgl. die Culture Jammers, Kalle Lasn 2005
  13. Beispielsweise in: Claus Leggewie (taz): Entmystifiziert euch!
  14. vgl. Literatur
  15. Internetpräsenz von „freundinnen und freunde der klassenlosen gesellschaft“
  16. MAGAZIN-Internetpräsenz
  17. Quellengabe fehlt
  18. Homepage Oiseau-tempête, 2004
  19. Jorinde Reznikoff, KP Flügel: Bomb it, Miss.Tic! Mit der Graffiti-Künstlerin in Paris. Hamburg 2011, Edition Nautilus